Arts / Culture / audiovisuel
La production africaine
d’œuvres originales
Un autre regard
Sensibilité
made in africa
Authenticité
engagement
artistique
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La production africaine
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1000 Couleurs Production
Production sans frontière
Mille Couleurs Production (MC PROD) est une société burkinabè de production travaillant dans les domaines des arts vivants, de l’événementiel et de la production cinématographique.
Créée en 2005 à l’instigation de Mme Irène TASSEMBEDO, MC PROD a pour objet la production, l’exploitation, l’achat, la vente, l’édition, la distribution, la promotion d’œuvres artistiques, qu’elles soient littéraires, musicales, photographiques, audiovisuelles, cinématographiques et multimédia. Elle est active dans la régie publicitaire, l’organisation de spectacles, le management culturel, le conseil en communication.
ans d'expérience et de réalisations
1000 Couleurs Production
Production sans frontière
Mille Couleurs Production (MC PROD) est une société burkinabè de production travaillant dans les domaines des arts vivants, de l’événementiel et de la production cinématographique.
Créée en 2005 à l’instigation de Mme Irène TASSEMBEDO, MC PROD a pour objet la production, l’exploitation, l’achat, la vente, l’édition, la distribution, la promotion d’œuvres artistiques, qu’elles soient littéraires, musicales, photographiques, audiovisuelles, cinématographiques et multimédia. Elle est active dans la régie publicitaire, l’organisation de spectacles, le management culturel, le conseil en communication.
ans d'expérience et de réalisations
Mille Couleurs Production est une société burkinabè de production travaillant dans différents domaines des arts vivants, dans l’événementiel et dans la production cinématographique.
Créée en 2005 à l’instigation de Mme Irène Tassembedo, cette SARL au capital de 1.000.000 de Francs CFA a produit ou participé à la production de plusieurs créations de ballets contemporains, de grands événements culturels, de 2 comédies musicales et de 3 films de cinéma, dont un court métrage documentaire, 1 court métrage de fiction et 1 long métrage de fiction.
Son objet est la production, l’exploitation, l’achat, la vente, l’édition, la distribution, la promotion d’oeuvres artistiques, qu’elles soient littéraires, musicales, photographiques, audiovisuelles, cinématographiques et multimédia. Elle est active dans la régie publicitaire, l’organisation de spectacles, le management culturel, le conseil en communication.
Sa gérance est assurée par Mr Martial Zongo, producteur.
SARL 02 BP 5217 Ouagadougou 02 au Burkina Faso
Cinématographie
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Long métrage
“Kokoko Afférage.com” Feature fiction Film (2015)
Long métrage de fiction, Kokoko, Afférage.com a été tourné et réalisé en 2014 par Irène Tassembédo et est sorti en salle en mars 2015.
Des femmes d’un même groupe d’amies se retrouvent régulièrement chez l’une d’entre elles pour se raconter des histoires, rigoler, critiquer, s’apitoyer, évoquer les dernières nouvelles et rumeurs de la ville, refaire le monde, leur petit monde mais aussi le grand monde auquel elles sont connectées…
Tous les sujets sont traités, sans tabou. On est entre femmes qui se connaissent et s’épanchent… Les histoires de couple, de famille, d’éducation des enfants, mais aussi de sexualité, d’argent, de politique… Tout y passe !
La chronique de Ouaga est mélangée avec le récit des drames qui touchent les unes et les autres. On parle de tout et de rien, mais à chaque séance, invariablement, il y a un moment où une des participantes jette le problème qu’elle a sur le coeur sur la table et la chronique des mariages, baptême, naissances et faits divers fait alors place à un débat chaud et plein d’émotion.
Ces femmes sont toutes des personnages remarquables, à la fois drôles, émouvantes, mais aussi très décapantes…
Produit par Mille Couleurs Production, le film a été montré dans différents festivals et sa sortie en salle en 2015 à Ouagadougou a été marqué par un franc succès avec plus de 10.000 spectateurs en 3 semaines d’exploitation dans cette seule ville.
“Un jeudi au quartier” court métrage (2020)
Réalisé en Décembre 2019 et Janvier 2020, « Un jeudi au quartier » est un court métrage portant sur le mariage forcé.
Nafissatou est une jeune fille de 13 ans qui vit dans un quartier populaire d’une ville d’Afrique de l’Ouest.
Elle n’a pas eu la chance d’aller à l’école, parce qu’elle est une fille. Son père et sa famille pense que l’avenir d’une fille est de trouver un bon mari, qui lui permettra d’avoir une maison et à manger, en échange des enfants qu’elle lui donnera. Comme l’ont toujours fait les femmes de sa famille…
Le film raconte la fête qui se prépare un jeudi dans ce quartier, toutes les concessions du quartier en effervescence, où l’on cuisine, on balaie, on prépare la venue d’invités. Tout le monde sait que c’est un mariage, car c’est le jeudi qu’on les célèbre chez les musulmans du quartier. Les jeunes filles pensent toutes que ce n’est pas le leur, c’est toujours celui d’une autre…
Le film est vécu à travers les yeux du personnage de Liwane, cousine de Nafissatou. Dans le courant de l’après-midi, on appelle Nafissatou et plusieurs femmes la saisissent fermement pour la laver et l’habiller de blanc. C’est là que brutalement, l’adolescente comprend que c’est « son » jeudi. Ses hurlements et ses pleurs n’y changeront rien. Elle ne veut pas être mariée de force, elle pense qu’elle n’en a pas l’âge.
Mais personne n’y peut rien, ni ses cousines, ni même sa mère qui est restée silencieuse, résignée… Car elle a connu le même sort il y a des années et que c’est la tradition ! Impuissante et révoltée, Liwane assiste au drame de sa cousine. Le film se termine par la lettre que Liwane écrit à Dieu, pour lui demander d’intercéder en faveur des jeunes filles du quartier afin de leur permettre de choisir leur destin.
Sorti en mars 2020, le film est déjà sélectionné dans 6 festivals internationaux en Afrique (FICKIN, Kinshasa, RDC), en Europe (ARRFF Barcelona // International Awards ; Bucharest ShortCut Cinefest et Berlin Film Fest) ainsi qu’en Amérique (Montreal International Black film festival, Mosaic World Film festival).
“La Traversée” long métrage (2021)
Note d’intention de la réalisatrice
L’idée de ce film vient de mon envie de parler de l’émigration Africaine vers l’Europe différemment. Comment éviter l’hécatombe et l’hémorragie qu’elle entraine ?
Parler de ce drame sociétal non pas sur le versant politique ou sécuritaire, mais plutôt sur le versant de l’intime et du projet personnel. Partir reste toujours un choix, quelque chose qu’on peut ou qu’on devrait pouvoir choisir.
Le personnage principal (Djibi) est un émigré, portant un lourd secret, qui rentre au pays (le Burkina Faso) après 10 ans de labeur en Italie.
Au contact d’un groupe de jeunes de son quartier, dont l’unique dessein est de partir vers Europe, il conçoit un projet secret pour les préparer à cette traversée, qu’il a lui-même effectuée : préparation physique et intellectuelle, intensive, quasi militaire…
Mais on comprend progressivement au cours du film que l’objectif caché du projet est en réalité d’emmener chaque membre de l’équipe dans un parcours initiatique qui aboutira à un accomplissement personnel, invalidant à terme leurs projets d’émigration.
Les jeunes enrôlés dans ce programme, dont les profils et parcours sont assez représentatifs des réalités sociales et culturelles de l’Afrique sub-saharienne d’aujourd’hui, vont voir leurs vies prendre un nouveau tour grâce à ce coaching très particulier.
Le film « la traversée » s’attache au personnage énigmatique de Djibi, dont le projet constitue une épreuve de rédemption. Il s’attache également aux jeunes enrôlés dans son programme, à l’ensemble des épreuves qu’ils traversent et à leur transformation progressive.
Il s’attache enfin au jeune Akim, personnage pré-ado, vivant dans l’entourage proche de ces jeunes, qui découvrant leur secret, se prépare à son tour en cachette pour la traversée, une préparation qui va lui être finalement fatale. Les trajectoires parallèles de Djibi, de l’équipe des candidats à la traversée et du jeune Akim sont essentielles au propos.
L’histoire du jeune Akim propose un contrepoint tragique à la réussite du projet de Djibi : là où le cheminement du groupe représente l’espoir de ce qui peut être construit par une volonté positive de changer son existence, l’histoire d’Akim marque une toute autre réalité, tragiquement quotidienne, celle de la mort de nombreux migrants sur le chemin de leur traversée.
« Ça tourne à Ouaga » Court métrage (2017)
Court métrage de fiction, Ça tourne à Ouaga a été tourné et réalisé en 2017 par Irène Tassembédo.
C’est une chronique décalée et corrosive, mais surtout très drôle, sur les mille et un tracas du dernier jour d’un tournage de film long métrage à Ouagadougou, où tout se met à dérailler et où les acteurs et techniciens sont emportés dans un tourbillon de folie.
Le film a été présenté au FESPACO en mars 2017, et a été projeté de nombreux festivals de courts métrages à travers le monde. Il a remporté un prix au Festival « Dakar Court » en 2019.
Il a été primé au Festival « Dakar Court » en 2018 et acheté par TV5 en 2020.
La bande annonce
Le film complet
1000 couleurs production
Nos pôles d’activité
01.
Danse contemporaine
1000 Couleurs Production a produit ou participé à la production de plusieurs créations de ballets contemporains.
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02.
Evénements culturels
Organisation de plusieurs spectacles de clôture du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou.
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03.
Théâtre et Comédie musicale
Une pièce de théâtre et plusieurs comédies musicales d’envergure internationale saluées par la critique.
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04.
Activité cinématographique
Entre court métrage documentaire ou de fiction et long métrage, une production cinématographique riche et inspirée.
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Le Sacre du Tempo
Cette pièce pour 7 danseurs et 5 musiciens est co-produite par la Compagnie Irène Tassembédo et Mille Couleurs Production.
Landa Siko
Compagnie avec laquelle Irène Tassembédo créée à l’Institut Français de Ouagadougou une pièce chorégraphique contemporaine intitulée « Landa Siko », une pièce sur le rêve des traditions (celui de la diaspora africaine en Amérique Latine tout particulièrement), le voyage, la rencontre.
Cette création est réalisée en co-production avec la Compagnie Irène Tassembédo, la Compagnie Sankofa et Mille Couleurs Production.
Tryptique
n mars 2010, la chorégraphe créée à nouveau à l’Institut Français de Ouagadougou une pièce en 3 tableaux intitulée « Tryptique », qui célèbre la diversité et la force des rencontres artistiques, la féminité et le combat pour survivre.
Avec une équipe artistique et technique alliant africains, européens et américains, ce ballet contemporain a été accueilli avec un très grand succès pour plusieurs représentations. Cette création a été réalisée en co-production avec la Compagnie Irène Tassembédo et Mille Couleurs Production.
lla Garibou
Allah Garibou est une pièce contemporaine très émouvante pour 4 danseurs et 3 musiciens, qui parle de ces enfants qui ont perdus leurs droits d’être enfants, leurs droits d’être aimés, au nom d’une initiation religieuse…
Une co-production Compagnie Irène Tassembédo, Festival Dialogue de Corps et Mille Couleurs Production.
Sini Siko
Pièce chorégraphique pour cinq danseurs et trois musiciens, elle aborde les questions contemporaines les plus sensibles, le chaos du monde, l’espoir de la jeunesse face à la violence du monde dans lequel ils sont nés et leur désaroi.
La pièce a été reprise lors de la première édition du Festival International de Danse de Ouagadougou en janvier 2013. Une co-production de la Compagnie
Le Manteau
Créé lors du Festival International de Danse de Ouagadougou en janvier 2014, Le Manteau est un ballet contemporain qui porte sur une interrogation ontologique de la chorégraphie africaine contemporaine : le geste et la musique peuvent-ils panser les blessures ?
Irène Tassembédo y reprend cette question dans cette pièce tumultueuse et tout sauf complaisante, qui a été représenté en tournée en France fin 2014 (15 dates, dont 2 au Pavillon Noir d’Aix-en-Provence).
Une co-production de la Compagnie Irène Tassembédo, L’échangeur – CDC Picardie et Mille Couleurs Production.
Gold TTC
Servie par des danseurs virtuoses de grand talent, elle utilise la vidéo pour évoquer le monde cruel et l’esclavage moderne de l’orpaillage. Une co-production de la Compagnie Irène Tassembédo et Mille Couleurs Production
Zalissa la Go
Zalissa la Go a été créé par la compagnie Irène Tassembedo en février 2011 à Ouagadougou. Pour cet événement, Irène Tassembédo s’est entourée d’une quarantaine d’artistes chanteurs, musiciens, danseurs, comédiens et acrobates.
Cette pièce dont le personnage principal est une héroïne au tempérament à la fois généreux et sulfureux, aborde les questions brulantes qui habitent la jeunesse africaine urbaine d’aujourd’hui, ses espoirs, ses maux.
La Comédie musicale a été présentée à la Maison des Jeunes de Ouagadougou durant la 22ème édition du FESPACO (du 28 février au 6 mars 2011) et a recueilli un énorme succès d’audience (plus de 4000 spectateurs) et d’estime.
Cette création a été co-produite par la Compagnie Irène Tassembédo et Mille Couleurs Production.
Les Bacchantes (Euripide)
Servie par de brillants interprètes, dont Maimouna Ndiaye et Sanvee Béno, et un orchestre en live dirigé par Jean-Philippe Rykiel, cette création théâtrale a fait grande sensation par sa puissance et son originalité.
Ce spectacle a été co-produit par la Compagnie Irène Tassembédo et Mille Couleurs Production
Kombibissé
En janvier 2016, Kombibissé (« La jeunesse »), une comédie musicale réunissant 11 danseurs, 3 acrobates, 9 musiciens, 5 chanteurs et 1 slameur, a été représenté pendant 1 mois à la Maison du Peuple de Ouagadougou et constitué un événement culturel majeur au Burkina Faso.
Evoquant les attentes de la jeunesse africaine d’aujourd’hui et inspiré des événements politiques vécus par le Burkina depuis octobre 2014, le spectacle a été représenté au FIDO 2016 puis a remporté un grand succès à Toulouse (France) en septembre 2016. Ce spectacle a été co-produit par la Compagnie Irène Tassembédo et Mille Couleurs Production.
Les deux comédies musicales et la tragédie grecque créées par Irène Tassembédo figurent parmi les productions culturelles les plus ambitieuses et les plus unanimement saluées par le public et la critique au Burkina Faso durant ces 20 dernières années.
Spectacles d’ouverture et de cloture du 21ème FESPACO 2009
En février-mars 2009, Irène Tassembédo est chargée de réaliser les spectacles événements d’ouverture et de clôture du 21ème FESPACO (Festival Panafricain du Cinéma de Ouagadougou) au Stade Municipal de Ouagadougou.
Elle développe ces spectacles / performances de grande envergure avec plus de 280 artistes danseurs, musiciens, comédiens, acrobates, marionnettes géantes professionnels et le concours d’amateurs, des performances qui ont marqué profondément les esprits et été unanimement saluées pour la qualité du travail artistique et leur dimension féérique et spectaculaire.
Cette création a été produite par Mille Couleurs Production.
Spectacles d’ouverture et de clôture du 24ème FESPACO 2015
Irène a également conçu le spectacle d’ouverture et de clôture du 24ème FESPACO au Palais des Sports de Ouagadougou en mars 2015, où elle a mis en scène plus de 150 artistes danseurs et musiciens.
Le spectacle a marqué les esprits pour sa créativité, sa qualité musicale et chorégraphique, mais aussi son professionnalisme et sa dimension festive. Cette création a été produite par Mille Couleurs Production.
Irène TASSEMBEDO
Chorégraphe, comédienne et réalisatrice
Ancienne élève de l’Ecole Mudra-Afrique de Maurice Béjart à Dakar, Irène Tassembédo fait partie des plus grandes figures de la chorégraphie moderne de l’Afrique contemporaine. Depuis plus de trois décennies, elle développe un travail chorégraphique original, alliant danse contemporaine et danse africaine, qui s’inscrit résolument dans le temps présent, tout en réinventant le langage de la danse.
Son ouverture vers l’ensemble des techniques de la danse et vers les autres disciplines des arts vivant lui ouvrent au début des années 80 une carrière multidisciplinaire en tant que comédienne de talent au théâtre, au cinéma et à la télévision, en qualité de chorégraphe et d’enseignante réputée de danse en Europe et à travers le monde.
Après 30 ans d’une carrière internationale, Irène Tassembédo est revenue s’installer en 2007 au Burkina Faso, son pays d’origine, riche d’une expérience professionnelle qu’elle souhaite transmettre aux danseurs, chorégraphes et autres artistes du continent africain.
Tout en continuant la création de pièces chorégraphiques avec sa propre compagnie, la Compagnie Irène Tassembédo, elle travaille aujourd’hui au développement de projets culturels novateurs et structurants dans son pays et à travers le continent, tel que l’Ecole de Danse internationale Irène Tassembédo (EDIT), créée en octobre 2009 à Ouagadougou, pour développer une formation professionnelle permanente de haut niveau et la création d’un diplôme de danse africain de niveau international.
En 2013, Irène Tassembédo a créé le Festival International de Danse de Ouagadougou (FIDO), festival ouvert à toutes les formes d’expression chorégraphique, dans lequel se produisent chaque année à Ouagadougou au mois de janvier une vingtaine de compagnie de danse venues de l’Afrique et du reste du monde. Le FIDO s’est imposé comme un rendez-vous international de haut-niveau pour la danse en Afrique, ouvert notamment aux diasporas africaines à travers le monde.
Plus récemment, elle a créé en 2018 le « Grin des Arts Vivants », plateforme de développement culturel multidisciplinaire qui regroupe notamment l’EDIT, le FIDO, le Théâtre Fitini (scène ouverte) et une entreprise de production culturelle.
Irène Tassembédo est également très active dans la mise en scène de théâtre et la réalisation cinématographique.
Créations artistiques
En contact étroit avec le continent africain, mais aussi avec les Etats-Unis et l’Europe, Irène Tassembedo a créé en 1988 la Compagnie Ebène, avec laquelle elle a monté successivement Fusion en 1988, Diminoïda en 1989 et a participé à la Caravane d’Afrique du Sommet de la Francophonie de Chaillot en 1991.
A Paris en octobre 1992, puis au MASA 1993, la création de Yenenga remporte un grand succès, qui se concrétise par de multiples tournées de la compagnie en Afrique, en Asie, en Europe et aux Etats-Unis pendant 3 ans.
Wakatti, un ballet pour 14 danseurs et musiciens, créé en mars 1996 à Brazzaville, a ensuite rencontré le même succès en Europe et en Afrique.
A la demande du Festival Olympique des Arts (programme culturel des JO), Irène Tassembedo crée Trouble à Atlanta en juillet 1996, avec sa compagnie et la compagnie Ballethnic d’Atlanta. Depuis, sa collaboration avec plusieurs compagnies américaines se poursuit.
En juin 1997, Irène Tassembédo retrouve le Parc de la Villette à Paris pour la création de Mousso Kassi (les pleurs de la femme), ballet pour 6 danseuses, représenté en Europe, sur le continent africain et en Océanie.
En 1998, Kôbendé (eau trouble) est créé au Théâtre National de Bretagne à Rennes en novembre 1998. Cette pièce pour cinq danseurs et trois musiciens fait salle comble pendant 3 semaines et poursuit ensuite une carrière nationale et internationale en 1999 (ouverture du Festival des Francophonies en Limousin, à Limoges) et 2000.
Dans un ballet créé en 2001 au Théâtre de la Tempête à la Cartoucherie de Vincennes, Irène Tassembédo a travaillé le thème de la féminité et de la condition féminine dans Mousso Ka Miriya, une pièce pour 6 danseuses et comédiennes, représentée au TILF de La Villette et en tournée Européenne en 2002.
C’est ensuite l’esthétique du corps noir et l’esclavage qui sont interrogés dans Souffles, pièce pour 7 danseurs masculins et 4 musiciens, créée en 2003 au TILF de La Villette, représentée au Musée Dapper à Paris et en tournées internationales en Afrique de l’Ouest et en Europe de 2004 à 2007. Ce ballet puissant a bouleversé par sa chorégraphie audacieuse et la qualité des interprètes burkinabè exceptionnels formés par Irène Tassembedo.
En novembre 2004, Irène Tassembédo créée Carmen Falinga Awa, une Comédie musicale inspirée du personnage de Carmen de Mérimée, transposé dans l’Afrique contemporaine. Avec 40 artistes, chanteurs, danseurs, comédiens et musiciens d’Afrique de l’Ouest autour d’une chorégraphie, d’une composition musicale et de textes originaux.
Créé pour le Sommet de la Francophonie de Ouagadougou, ovationné pendant une tournée sous-régionale en décembre 2004, Carmen Falinga Awa a fait l’événement à l’ouverture du Festival International des Francophonies en Limousin en septembre 2005 à Limoges.
A la suite d’une résidence d’enseignement à l’Institut des Arts de l’Université de Butaré (Rwanda) dans le cadre d’un programme de renforcement des capacités en matière d’arts du spectacle et de travail sur la mémoire du génocide rwandais, Irène Tassembédo a créé avec un groupe de danseurs rwandais en 2005 Des Espoirs pièce inspirée de l’histoire récente du pays et des traumatismes qui en résultent. Créée et représentée à Paris au Tarmac de la Villette en août 2005, le spectacle a été représenté au Rwanda en 2006.
En janvier 2008 sur la Scène Nationale du Théâtre Paul Eluard de Bezons (95), puis sur celle de l’ARC du Creusot (71), Irène Tassembédo monte un ballet intitulé Le Sacre du Tempo, qui interroge la problématique de la transe, comme état limite vers la folie, telle qu’elle peut être utilisée par les hommes à travers le monde.
Cette pièce pour 7 danseurs et 5 musiciens, empreinte d’une force étonnante, est servie par les danseurs exceptionnels qui travaillent régulièrement avec la chorégraphe dans sa compagnie, rebaptisée depuis 2004 « Compagnie Irène Tassembédo ».
En février et mars 2009, elle réalise les spectacles d’ouverture et de clôture du 21ème FESPACO (Festival Panafricain du Cinéma de Ouagadougou) avec plus de 280 artistes danseurs, musiciens et comédiens. Ces spectacles / performances de grande envergure ont marqué profondément les esprits et unanimement saluées pour la qualité du travail artistique et leur dimension féérique et spectaculaire.
Toujours en 2009, Irène Tassembedo monte au Centre Culturel Français de Ouagadougou avec la Compagnie Sankofa de Colombie Landa Siko, une pièce sur le rêve des traditions, le voyage, la rencontre.
En mars 2010, la chorégraphe créée à nouveau à l’Institut Français de Ouagadougou une pièce en 3 tableaux intitulée « Tryptique », qui célébre la diversité et la force de la rencontre, la féminité et le combat pour survivre. Avec une équipe artistique et technique alliant africains, européens et américain, ce spectacle a été accueilli avec un très grand succès.
Le thème des enfants mendiants appelés garibous ou talibés est le sujet sensible que la chorégraphe a abordé en décembre 2010 au Festival Dialogues de Corps à Ouagadougou. Allah Garibou, une pièce très émouvante pour 4 danseurs et 3 musiciens, qui parle de ces enfants qui ont perdus leurs droits d’être enfants, leurs droits d’être aimés, au nom d’une initiation religieuse…
En février 2011 à Ouagadougou, Irène Tassembédo créé Zalissa la Go, sa 2ème comédie musicale, entourée de 40 artistes chanteurs, musiciens, danseurs, comédiens et acrobates.
Cette pièce dont le personnage principal est une héroïne au tempérament à la fois généreux et sulfureux, aborde les questions brulantes qui habitent la jeunesse africaine urbaine d’aujourd’hui, ses espoirs, ses maux. Présentée à la Maison des Jeunes de Ouagadougou durant la 22ème édition du FESPACO (février-mars 2011) la pièce recueille un énorme succès d’audience et d’estime (plus de 4000 spectateurs).
A l’Institut Français en juin 2012, Irène Tassembédo créé avec sa Compagnie Sini Siko, pièce chorégraphique pour cinq danseurs et trois musiciens, reprise lors de la première édition du
FIDO en janvier 2013.
Créé lors du FIDO 2014, Le Manteau, porte sur une interrogation ontologique de la chorégraphie africaine contemporaine : le geste et la musique peuvent-ils panser les blessures ? Irène Tassembédo reprend cette question dans cette pièce tumultueuse et tout sauf complaisante, qui a été représenté en tournée en France fin 2014 (15 dates, dont 2 au Pavillon Noir d’Aix-en-Provence).
En mars 2015, Irène Tassembedo signe le spectacle d’ouverture et de clôture du 24ème FESPACO, où elle met en scène plus de 150 artistes danseurs et musiciens, dans une performance qui a marqué les esprits pour sa créativité musicale et chorégraphique, son professionnalisme et sa dimension festive.
En janvier 2016, Kombibissé (« La jeunesse »), est la 3ème Comédie Musicale créée par Irène Tassembedo, réunissant 30 artistes danseurs, acrobates, musiciens, chanteurs et slameur sur scène, représenté pendant 1 mois à la Maison du Peuple de Ouagadougou.
Portant sur les attentes de la jeunesse africaine et inspiré de l’insurrection populaire d’octobre 2014 au Burkina, le spectacle a été montré au FIDO 2016 puis a remporté un grand succès à Toulouse (France) en septembre 2016.
Pour le FIDO 2018, Irène Tassembedo créée ensuite Gold TTC, pièce chorégraphique pour 5 danseurs et 1 musicien, qui traite de la condition des orpailleurs et de la fièvre de l’or dans le Sahel. Au FIDO 2019, elle présente Les Go du Grin (pièce pour 3 danseuses) et au FIDO 2020 Et si on disait Non ? pièce de la Compagnie incluant les élèves de 3ème année de l’EDIT.
Sa dernière création s’intitule Yiiki, Africa Boléro, un ballet qui traite de nouveau de la condition de la jeunesse africaine, de la perte des repères et du lien tradition – modernité. Coproduite par L’Echangeur CDCN Hauts-de-France de Château-Thierry et Charleroi-Danse, il devrait faire l’ouverture de la Saison des Cultures Africaines AFRICA 2020 en France en décembre 2020.
Autres activités
Irène Tassembédo a travaillé pendant près de 10 ans en collaboration avec le metteur en scène Matthias Langhoff : comédienne dans Philoctète en 1993, elle a participé comme chorégraphe et assistante à la mise en scène à plusieurs de ses créations de 1995 à 2000.
Elle a poursuivi parallèlement une carrière de comédienne au cinéma et à la télévision (voir ci-dessous).
Au théâtre, elle a créé à Ouagadougou en novembre 2013 la tragédie d’Euripide Les Bacchantes avec une équipe d’acteurs, musiciens et techniciens d’Afrique de l’Ouest, d’Europe et d’Amérique du Nord.
Par son souffle exceptionnel, la mise en scène audacieuse, dans une arène de lutte traditionnelle, de ce texte complexe et fascinant racontant la terrible vengeance de Dionysos sur la famille royale de Thèbes a constitué un événement théâtral marquant au Burkina et remporté un grand succès public (près de 2000 spectateurs).
Irène Tassembédo continue d’animer des stages et Master-Class de danse en Afrique, à travers l’Europe et aux Etats-Unis.
En matière de réalisation cinématographique, elle est l’auteur de 3 courts métrages (Mousso Déni, documentaire présenté au FESPACO 2009 ; Ça tourne à Ouaga, fiction présentée au FESPACO 2017 ; et Un Jeudi au Quartier, fiction qui sera présentée au FESPACO 2021) et de 2 films long métrages de fiction (Kokoko, Afférage.com présenté durant le FESPACO 2015 et dans différents festivals depuis ; et La Traversée, actuellement en post-production).
En octobre 2009, elle a ouvert l’Ecole de Danse Internationale Irène Tassembédo (EDIT), pour développer une formation professionnelle permanente de niveau international en Afrique. C’est une pépinière de jeunes talents de la danse, qui a déjà formé quelques-uns des jeunes interprètes et chorégraphes parmi les plus prometteurs du continent. Elle y développe de nombreux partenariats pour la formation des danseurs, avec l’Afrique, l’Europe et les Amériques.
Irène Tassembédo a créé le Festival International de Danse de Ouagadougou (FIDO), dont la première édition a eu lieu en 2013 et qui accueille chaque année une vingtaine de compagnies de danse des 4 continents (Afrique, Europe, Asie et Amériques), sur une semaine fin janvier.
Le FIDO convoque toutes les inspirations et formes de danse, sans exclusive (contemporain, traditionnel, modern, hip-hop, etc), notamment les expressions des diasporas africaines du monde.
Les éditions successives du FIDO ont consacré ce rendez-vous comme un incontournable du continent africain, où se produisent les meilleurs talents (confirmés mais aussi découvertes). Le FIDO s’est également imposé comme un véritable rendez-vous populaire de la danse au Burkina Faso (près de 5000 spectateurs chaque année).
Elle a également été la coordinatrice de la dernière édition de la Triennale Danse l’Afrique Danse à Ouagadougou en fin 2016, avec le soutien de l’Institut Français.
En 2018, elle a créé en 2018 le Grin des Arts Vivants de Ouagadougou, une plateforme de promotion des arts vivants, qui inclut la création, la représentation des œuvres, la formation des artistes, la sensibilisation aux pratiques artistiques pour tous publics et le développement de projets culturels.
Il s’incarne dans un quartier populaire de la capitale (Cissin), en mettant à disposition des populations environnantes une offre attractive dans les arts vivants pour sensibiliser à la création artistique, inclure les publics du quartier qui sont éloignés des pratiques artistiques, mais aussi contribuer au lien social et au développement local.
Il regroupe notamment l’EDIT, le FIDO, le Théâtre Fitini (scène ouverte de diffusion des arts vivants) et Mille Couleurs Production, une entreprise de production culturelle multidisciplinaire.
Chorégraphies
- 2020 : Yiiki African Boléro, pièce chorégraphique pour 11 danseurs, 3 musiciens, 1 performeur (Institut français de Ouagadougou, L’Echangeur de Château-Thierry – Saison des Cultures Africaines AFRICA 2020, Charleroi Danse et FIDO 2021)
- 2020 : Et si on disait Non ? pièce chorégraphique pour 14 danseurs (FIDO 2020)
- 2019 : Les Go du Grin pièce chorégraphique pour 3 danseuses (FIDO 2019)
- 2018 : Création du spectacle Gold TTC, pièce chorégraphique avec 5 danseurs et 1 musicien (FIDO 2018)
- 2016 : Kombibissé (La jeunesse) Comédie musicale pour 11 danseurs, 3 acrobates, 9 musiciens, 5 chanteurs, 3 choristes, 1 slameur (Maison du Peuple, Ouagadougou et TNT Toulouse)
- 2015 : Création des spectacles des Cérémonies d’ouverture et de clôture du Festival Panafricain du Cinéma de Ouagadougou (FESPACO) avec 150 artistes comédiens, danseurs et musiciens
- 2014 : Le Manteau, pièce pour 6 danseurs et 3 musiciens, FIDO 2014 / Institut Français, puis tournée française de septembre à novembre 2014.
- 2012 : Sini Siko, pièce pour 5 danseurs et 3 musiciens, Institut Français. Reprise au FIDO en janvier 2013.
- 2011 : Zalissa La Go, comédie musicale africaine avec une quarantaine d’artistes présentée à la MJC de Ouagadougou parallèlement au FESPACO
- 2010 : Allah Garibou, pièce chorégraphique pour 4 danseurs et 3 musiciens présentée au Centre de Développement Chorégraphique CDC – la Termitière pendant le Festival Dialogue de Corps – Burkina Faso
- 2010 : chorégraphie de la cérémonie d’ouverture des KORA AWARDS 2010 à Ouagadougou (BURKINA FASO)
- 2010 : Triptyque, pièce chorégraphique pour sept danseurs et cinq musiciens venu des USA, d’Angola, de France et du Burkina Faso
- 2009 : Landa Siko, pièce chorégraphique pour la compagnie Sankofa de Colombie présentée au CCF de Ouagadougou.
- 2009 : Création spectacle des Cérémonies d’ouverture et de clôture du Festival Panafricain du Cinéma de Ouagadougou (FESPACO) avec 237 artistes comédiens danseurs et musiciens
- 2008 : Le Sacre du Tempo, résidence de création à Ouagadougou et Bezons (France), création à Bezons puis Le Creusot en janvier 2008.
- 2005-2006 : Des Espoirs, création au Tarmac de la villette, puis représentations au Rwanda
- 2004-2005 : Carmen Falinga Awa (Carmen CFA), Comédie musicale sur le personnage de Carmen de Mérimée transposé dans l’Afrique contemporaine, création pour le Sommet de la Francophonie de ouagadougou le 26 novembre 2004, tournée sous-régionale au Togo et au bénin en décembre 2004. Ouverture du Festival International des Francophonies de Limoges en octobre 2005.
- 2003-2007 : Souffles, pièce pour 11 danseurs et musiciens burkinabè, création au Théâtre International de Langue Française (La Villette, Paris), puis Musée Dapper, tournée internationale en Afrique de l’Ouest (8 pays, Centres Culturels Français). Tournée en France de février à juin 2005, puis tournées internationales 2005-2007.
- 2001-2002 : Mousso Ka Miriya, Théâtre de la Tempête Cartoucherie de Vincennes (Compagnie Ebène), Théâtre International de Langue Française, tournée Européenne.
- 1998-2000 : Kôbendé, création au Théâtre National de Bretagne à Rennes en novembre 1998 (Compagnie Ebène). Tournée européenne en 1999, dont spectacle d’ouverture du Festival International des Francophonies de Limoges, septembre 99. Tournée en Afrique centrale (février et mars 2000).
- 1998 : Yééla, création à Ouagadougou en juin, avec le Ballet National du Burkina.
- 1997 : Mousso Kassi, création à Paris (la Grande Halle de la Villette), avec la Compagnie Ebène.
- 1996 : Wakatti, création à Brazzaville en mars (Compagnie Ebène). Trouble, création en juillet à Atlanta (M. L. King Chapell, Olympic Art Festival) avec Compagnie Ebène et Compagnie Ballethnics.
- 1992-94: Yenenga, création à Paris (Grande Halle de la Villette, Compagnie Ebène). Tournées aux Etats-Unis et en Asie, tournées en Afrique de l’Ouest et en Afrique Centrale.
- 1991 : Caravane d’Afrique, Sommet de la Francophonie de Chaillot, Paris.
- 1989 : Diminoïda cité intemporelle, création à la Maison des Cultures du Monde, Paris (Compagnie Ebène).
- 1988 : Caravane, création à Turin et tournée en Afrique, Compagnie Kaïdara.
- 1987 : Fusion, Palais des Glaces, Paris.
- 1986 : Bac ou Mariage, de Tam-Sir Niane, coll. J-Claude Carrière, Théatre Sorrano de Dakar, Café de la Danse à Paris.
Cinéma, Télévision
Réalisatrice :
- 2020-21 : La Traversée, production et réalisation Irène Tassembédo (long métrage de fiction)
- 2020 : Un jeudi au quartier, production et réalisation Irène Tassembédo (court métrage de fiction)
- 2017 : Ça tourne à Ouaga, production et réalisation Irène Tassembédo (court métrage de fiction)
- 2015 : Kokoko, Afférage.com, production et réalisation Irène Tassembédo (long métrage de fiction)
- 2009 : Mousso Déni, production et réalisation Irène Tassembédo (court métrage documentaire)
Comédienne :
- 2006-2007 : Les Urgences Médicales, série en 2 x 6 épisodes, France 2.
- 2000 : Joséphine, ange gardien, téléfilm de TF1.
- 1999 : Sans Plomb, film de Muriel Téodori.
- 1999 : La crèche, série de téléfilms de Jacques Fansten.
- 1996 : Anna Oz, Eric Rochant ; Le plus beau métier du monde, Gérard Lauzier ; Adorable petite bombe, Philippe Muyl.
- 1995 : Les aventures de Mme Pétlé, Camille de Casabianca ; Navarro, TF1.
- 1994 : L’avocate, Philippe Lefèvre, FR3 ; Navarro, TF1.
- 1992 : 1 2 3 Soleil, Bertrand Blier ; Samba Traoré, Idrissa Ouédraogo (Ours d’argent, Festival de Berlin).
- 1990 : Salut les Homards, série 60 épisodes, TF1.
- 1987 : Bac ou mariage, Jean Rouch.
- 1984-85 : Waka-Waka, David Pharao (sélection officielle, Festival de Chamrousse), Les deux Nounours, Renaud Saint-Pierre, FR3.
Divers
- En août 2014, Irène Tassembédo a été invitée d’honneur du Festival du Cinéma Francophone d’Angoulême.
- Elle a été membre du Jury du FESPACO en 2017 (courts métrages)
Théâtre
Chorégraphie et mise en scène :
- 2012-2013 : Les Bacchantes » d’Euripide mise en scène d’Irène Tassembédo, adaptation / dramaturgie de Anne-Marie Cousineau.
- 1999-2000 : Prométhée enchainé, de Matthias Langhoff, production du Ministère de la Culture du Burkina Faso et du Théâtre National de Bretagne (TNB), création à Ouagadougou en janvier 2000 (assistante à la mise en scène).
- 1999 : Les Trachiniennes, de Matthias Langhoff, Deutsch Theater de Berlin (assistante à la mise en scène)
- 1998 : Femmes de Troie, de Matthias Langhoff, TNB (assistante à la mise en scène).
- 1997 : Les Bacchantes, de Matthias Langhoff, Théâtre National de Salonique et Festival d’Epidaure (assistante à la mise en scène).
Comédienne :
- 1994-95 : Philoctète, Matthias Langhoff, Théâtre National de Bretagne.
- 1987 : La Vénus à la fourrure, Sacher Masoch, Philippe Adrien, Théâtre de la Tempête.
- 1982-1983 : L’homme de la Navy et New York Blues (David Pharao), Théâtre Fontaine, Palais des Glaces. Tournée africaine.
- 1981 : Artorex, Institut Hermann Therlink, Anvers.
- 1978-1980 : Alofo / La cuillère sale / Sitrog, Théâtre Sorrano, Dakar, MUDRA.
- 1977 : Alamasson, Festival des Arts Nègres, Lagos.
Distinctions
La chorégraphe a reçu de nombreux prix internationaux et distinctions honorifiques pour son travail de chorégraphe, parmi lesquels :
- Le Prix de la Société des Auteurs Compositeurs Dramatiques (SACD) pour la chorégraphie en France en 2000
- Le Prix du Cinquantenaire de l’Indépendance pour le Burkina Faso en 2010
- Officier de l’Ordre du Mérite du Burkina Faso en 2010,
- Chevalier des Arts et Lettres de la République Française en 2014,
- Médaille de l’Assemblée Nationale Française en 2014.
Dernière production
La traversée (teaser)
(Long métrage)
Identité
1000 Couleurs Production est une entreprise africaine de production d’oeuvres originales dans différentes disciplines artistiques, résolument engagée dans la promotion des arts et de la culture, dans l’entrepreneuriat social et l’équité de genre.
Irène Tassembedo
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Irène Tassembedo
Addresse
Quartier Kamsonghin
02 BP 5217 Ouagadougou
Burkina Faso
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